"B" - Votre recherche sur Harmonie Prévention

  • Burn-out

    Le burn-out est généralement la conséquence d’un stress chronique subi dans le cadre professionnel. Il n’existe pas de schéma universel de ce syndrome mais on distingue souvent plusieurs étapes. Dans un premier temps, la personne se fixe des objectifs très élevés, des idéaux auxquels elle consacre toute son énergie et son temps. Réalisant ensuite que les résultats atteints ne sont pas à la hauteur, ou que ses efforts ne sont pas reconnus par son employeur, elle s’investit davantage.    Mais l’insatisfaction et le manque de reconnaissance demeurent, les buts fixés ou les idéaux sont hors de portée, si bien que la déception, l’impatience, l’irritabilité et parfois le cynisme affleurent. Lorsqu’au bout de ce cercle vicieux, la personne a épuisé ses réserves, elle s’est « consumée », vidée. Elle est alors découragée, indifférente à son travail et aux autres, incapable de travailler. Au bout de soi Plusieurs années peuvent s’écouler avant que la personne ne finisse par atteindre l'état de burn-out. Le repos devient alors nécessaire mais il ne guérit rien. Les arrêts de travail sont d’ailleurs rarement longs, une trop longue période d’absence rendant le retour très difficile. Pour mettre fin au problème, il faut en général amorcer de réels changements dans sa vie, en commençant par en parler autour de soi.    L'épuisement professionnel n'est pas qu'un problème personnel. Il découle de bouleversements incessants des conditions de travail et se retrouve surtout dans les pays les plus industrialisés. Il fait partie intégrante des risques psycho-sociaux, une thématique de plus en plus évoquée ces dernières années. Les pouvoirs publics leur ont accordé une grande attention dans le deuxième plan de santé au travail et l'agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (ANACT) met en place de nombreux outils pour identifier et prévenir les risques psycho-sociaux en entreprise. Une kyrielle de signes Le burn-out se manifeste par des signes plus ou moins visibles de 2 ordres : émotionnel et psychologique : irritabilité, colères, impatience, méfiance, sentiment de culpabilité, sentiment d’impuissance, anxiété, aversion pour le travail, perte de l’estime de soi, pessimisme, isolement et sentiment d’abandon, cynisme, indécision, diminution des capacités de jugement, d’attention et de réflexion, etc. ; physique et physiologique : troubles du sommeil, problèmes digestifs, maux de tête, douleurs musculaires ou dorsales, vulnérabilité aux infections (rhumes, grippes, otites…), perte ou prise de poids, fatigue importante… Si vous reconnaissez chez vous ces symptômes, il est plus que temps de réagir et d'en parler à quelqu'un : à votre entourage, à votre médecin traitant, au médecin du travail ou encore à un psychologue. Burn-out, le prévenir Détectez les signes de stress chronique et identifiez leur cause afin d’essayer d’y remédier. Parlez à vos proches de vos difficultés, ne vous isolez pas. Le soutien social est en effet reconnu comme un moyen de prévention très efficace. Oubliez le travail lorsque vous n’y êtes pas (congés, week-end, sortie de bureau, pause-déjeuner). Ne vous obligez pas à être disponible et joignable en permanence. Gardez du temps pour votre famille, vos loisirs, vos amis… Évitez le surmenage en déterminant les tâches prioritaires, en déléguant si possible, en sachant dire non. Échangez lorsque c’est possible avec vos collègues et votre supérieur sur l’amélioration de l’organisation du travail, notamment lorsque celle-ci n’est satisfaisante pour personne ; Surveillez votre consommation d’excitants susceptibles d’alimenter votre stress comme le café, le thé, les boissons gazeuses, l’alcool, le sucre ; Pratiquez 30 minutes d’activité physique par jour. Les bienfaits sont multiples : diminution du stress, bien-être psychologique…   Sources - Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) - CHU de Toulouse, Service de Santé au Travail
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_815/menu-haut/maladies-et-prevention/maladies-psy-sante-mentale/burn-out.html
  • Beta HCG

    C’est une hormone sécrétée essentiellement par le placenta et qui ne subsiste que les deux premiers mois de la grossesse. Présente dans le sang dès le 9ème jour qui suit l’ovulation si l’oeuf est fécondé, elle est détectable dans les urines à partir du 15ème  jour. Le dosage sanguin quantitatif permet de suivre l’évolution de la grossesse et de détecter une éventuelle anomalie. Valeurs normales Inférieur à 8 UI/l (unités internationales/litre) chez la femme hors grossesse et inférieur à 7 UI/l chez l’homme. Variations physiologiques La Béta HCG est inférieure à 20 UI/l chez la femme ménopausée. Par ailleurs, elle ne cesse d’augmenter pendant la grossesse. Signification d’une augmentation Une augmentation ralentie au cours d’une grossesse peut être le motif pour rechercher une grossesse extra-utérine. Hors grossesse, une augmentation des béta HCG s’observe dans les tumeurs ovariennes. Attention, cette hormone peut être également sécrétée lors des tumeurs testiculaires. Un dosage effectué entre la 11ème et la 13ème semaine d’aménorrhée permet de faire la dépistage du risque d’une trisomie 21 (taux plus élevé que la normale). La confirmation se fera à l’aide d’une amniocentèse) Signification d’une baisse Lors d’une grossesse, l’arrêt de l’augmentation puis une décroissance progressive est la conséquence de l’arrêt de la grossesse, quelle que soit la cause. Modalité de l’examen Aucune condition particulière n’est requise pour cet examen. La prise de sang s’effectue au pli du coude. A savoir : le dosage peut aussi s’effectuer sur un prélèvement urinaire. Les valeurs normales indiquées dépendent des techniques utilisées par les laboratoires et peuvent donc varier d’un laboratoire à l’autre. RECO : ajouter un mot sur les tests de grossesse Le test urinaire peut être effectué 2 ou 3 jours après la date prévue des règles. Le test sanguin peut être fait sur prescription médicale à partir de 10 ou 12 jours de grossesse.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_920/menu-haut/examens-analyses-vaccins/analyses/exploration-de-la-fonction-reproduction/beta-hcg.html
  • BCG

    La politique de lutte contre la tuberculose (Bacille de Koch) évolue. En France, l’incidence de la maladie baisse régulièrement. L’obligation de vacciner les enfants par le BCG (Bacille de Calmette et Guérin) avant l’entrée en collectivité est suspendue. Mais cette mesure s’accompagne d’une recommandation forte de vaccination des populations les plus à risque : enfant né dans un pays de forte endémie tuberculeuse (continent africain, continent asiatique, pays du Proche et Moyen-Orient, pays d’Amérique centrale et du sud, pays d’Europe centrale et de l’est y compris les pays de l’ex-URSS, pays l’Union européenne tels que la Bulgarie, l’Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, le Portugal, la Roumanie ; enfant dont au moins l’un des parents est originaire de l’un de ces pays ; enfant devant séjourner au moins un mois d’affilée dans l’un de ces pays ; enfant ayant des antécédents familiaux de tuberculose (collatéraux ou ascendants directs) ; enfant résidant en Guyane ou à Mayotte ; enfant dans toute situation jugée par le médecin à risque d’exposition au bacille tuberculeux, notamment enfant vivant dans des conditions de logement défavorables (habitat précaire ou surpeuplé) ou socioéconomiques défavorables ou précaires ou en contact régulier avec des adultes originaires d’un pays de forte endémie Pour les enfants exposés à un risque élevé de tuberculose, la vaccination par le BCG est recommandée dès la naissance. Les nourrissons âgés de moins de 3 mois sont vaccinés par le BCG sans test tuberculinique préalable. Chez les enfants à risque non vaccinés, la vaccination peut être réalisée jusqu’à l’âge de 15 ans. Une vaccination, même ancienne, est exigée pour les étudiants des secteurs sanitaire et social, ainsi que pour les professionnels en poste. La vaccination peut se faire à partir d’1 mois à raison d’une dose unique de BCG. Après 3 mois, la pratique d’une intradermoréaction (IDR), est recommandée. Elle permet de vérifier un éventuel contact avec la maladie. Les rappels ne sont pas nécessaires. Sources vaccination-info-service.fr
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_1054/menu-haut/examens-analyses-vaccins/vaccins/vaccins-bacteriens/-bcg-.html
  • Rougeole

      Est-ce un vaccin obligatoire ? Oui depuis janvier 2018.   Pourquoi se faire vacciner ? La rougeole est très contagieuse et peut entraîner des complications cérébrales potentiellement mortelles ou laissant des séquelles neurologiques graves. Elle est due à un virus (Morbillivirus). Entre 2008 et 2012, une épidémie de rougeole a touché 24000 personnes causant 30 complications neurologiques graves et 10 décès en France. Elle se transmet par la toux et les éternuements produits par les personnes contaminée.   Les recommandations officielles Tous les enfants âgés de 12 mois devraient avoir reçu deux doses de vaccin associant la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). La première injection est recommandée à l’âge de 12 mois. La seconde injection est recommandée entre 16 et 18 mois avec un intervalle d'au moins 1 mois entre les 2 injections.  Les personnes nées depuis 1980 devraient avoir reçu au total deux doses de vaccin.   Le vaccin est-il remboursé ? Le vaccin ROR est pris en charge à 100 % jusqu’à l’âge de 17 ans inclus.    Source http://vaccination-info-service.fr/
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_1064/menu-haut/examens-analyses-vaccins/vaccins/vaccins-viraux/rougeole.html
  • Blanquette de dinde

    Recette d'automne 6/8 personnes Préparation 30 min Cuisson 1h15 / 2h Repos 10 min 1,05 € par personne     Blanquette de dinde et purée orange Ingrédients pour la blanquette de dinde 1 kg de blanquette/sauté de dinde 1 petit verre de vin blanc 1 oignon 6/8 petits champignons de Paris frais Persil frais (facultatif) 1 bouquet garni (romarin, thym, laurier) 2 cuillères à soupe de fécule de maïs 1 cube de bouillon de volaille dégraissé Huile Sel, poivre (ou 5 baies) Ingrédients pour la purée orange 1 kg de pommes de terre « à purée » 1 kg de carottes 1 petit chou-fleur (ou 1 kg) Un peu de lait/crème fraîche Préparation de la blanquette de dinde Lavez une carotte, épluchez-la et coupez-la en rondelles. Pelez l'oignon, lavez-le et émincez-le. Coupez la partie terreuse de la queue des champignons ; passez-les rapidement sous un filet d'eau et émincez-les. Dans une cocotte, mettez un peu d'huile et faites dorer les morceaux de viande.Lorsqu'ils sont dorés, retirez-les et faites dorer l'oignon émincé. Remettez la viande dans la cocotte ; ajoutez le vin blanc, les carottes coupées en rondelles, l'oignon doré, le bouquet garni, le cube de bouillon, les champignons émincés et le persil ciselé. Salez légèrement (le cube de bouillon est déjà riche en sel) et poivrez. Ajoutez de l'eau jusqu'au niveau de la viande. Portez à ébullition et laissez mijoter avec un couvercle environ 1 h 15. Selon la taille des morceaux de viande, la cuisson peut durer jusqu'à 2 h. Quand la viande est cuite, ajoutez 2 cuillères à soupe de fécule de maïs diluée.Laissez frémir 1 minute en remuant. Renouvelez l'opération si nécessaire. Préparation de la purée orange pendant que la viande mijote Lavez et épluchez le chou-fleur, les carottes et les pommes de terre. Coupez-les en morceaux et cuisez-les ensemble en les plongeant dans un volume d'eau salée pendant 20 minutes. égouttez-les. écrasez-les à la fourchette ou passez-les au mixeur. Ajoutez un peu de lait et/ou de crème fraîche si la texture est trop épaisse. Salez et poivrez. Alternatives Vous pouvez... Remplacer le duo champignons-carottes par un demi-poireau, les champignons frais par des champignons en conserve, du chou-fleur frais par du chou-fleur surgelé. Remplacer les légumes de la purée par d'autres légumes de saison : céleri-rave, épinard, navet, potiron, topinambour... Cuire les légumes à la vapeur pendant 10 min ou dans une casserole/cocotte/wok avec un fond d'eau salée pendant 20 à 30 min. Ajouter à la blanquette 2 ou 3 tranches de bacon coupées en morceaux pour donner un léger goût fumé (le bacon est moins gras que les lardons). Réaliser cette recette avec d'autres viandes ou des poissons à chair ferme (cabillaud, saumon, lieu, lotte, bar, etc.). Pour les personnes allergiques et intolérantes Intolérance au gluten : utilisez de la fécule de maïs « sans gluten » ou farine « sans gluten » pour lier la sauce. évitez l'utilisation des cubes de cuisson (à remplacer par du sel). Pour les personnes végétariennes : régalez-vous avec la purée orange uniquement et ses variantes. Accommodez les restes Utilisez le reste de purée et viande (émiettée) pour faire un hachis Parmentier. Utilisez le reste de sauce pour accompagner un plat de pâtes, ou congelez-la pour une autre utilisation. à savoir Il est possible de préparer ce plat la veille en réduisant la cuisson de 20 à 30 min. En réchauffant le lendemain, la viande continuera à cuire. Ce plat peut être consommé dans les trois jours, à compter du jour de fabrication, à condition qu'il soit rapidement refroidi et stocké au réfrigérateur. Il est possible de congeler des portions. Intérêts nutritionnels Recette convenant à tous et notamment aux personnes diabétiques : c'est un plat complet. Ce plat comprend les parts de viande/poisson/œuf, légumes et féculents recommandées pour une alimentation équilibrée.
    https://www.harmonie-prevention.fr/rub_2217/menu-haut/alimentation-recettes/recettes/recettes-d-automne/blanquette-de-dinde.html